L'héroïne est toujours Lilly, qui se retrouve confrontée à un danger inédit, puisqu'au retour d'une expédition, elle et ses amis retrouvent Woodbury fracturée, et les enfants enlevés. A la tête d'un groupe de survivants, elle va tout faire pour les retrouver, et elle va se confronter à un groupe à la solde d'un savant dont les travaux pourraient faire basculer l'équilibre des forces, face aux zombies.
La plume de Jay Bonansinga connaît un sursaut dans ce tome 7, on s'attache un peu plus aux personnages, même si certains disparaissent. Je le disais dans ma chronique du volume 6 de cette série, on est à la fin d'un cycle, celui qui est consacré à la ville de Woodbury, en Géorgie, indéfectiblement liée à la franchise The Walking Dead. Mais on sent derrière ce jeu de massacre le souci de faire table rase, ou presque, et de repartir avec de nouveaux personnages. Lilly est toujours là, increvable.
Spooky